samedi 28 novembre 2015

Le forum des métiers







Une vingtaine de professionnels étaient réunis, jeudi après-midi, au collège Jean-Paul II, afin de présenter leur métier et répondre aux interrogations des élèves de 4e et 3e, en recherche d'orientation. Coiffeur, médecin, pédicure, hôtelier, comptable, infirmier ou paysagiste, le panel était varié. En petits groupes, les enfants ont pu rencontrer cinq représentants des filières qui les intéressaient. Frédéric est pilote à l'aéroport de Lorient. Il participait pour la deuxième fois à la manifestation, désormais annuelle. « Le métier de pilote est souvent mythique pour les enfants. C'est important qu'ils puissent avoir des informations précises sur la profession, explique-t-il. Ce qui est intéressant, ce sont les questions qu'ils posent. Les échanges permettent de répondre spécifiquement à leurs préoccupations. »

(Ouest-France du 28 novembre)

vendredi 27 novembre 2015

Squash : les collégiens ont affronté leurs parents

Le collège Jean-Paul II a proposé, pour la première année, une option squash en classe de 6e. À l'issue d'une période de neuf séances d'entraînement, organisée par Jacques Bernard, professeur d'éducation physique, et par Alexis et Jean-Luc Paquemard, diplômés de la discipline, vingt-huit élèves ont convié leurs parents  à un tournoi familial.
Le collège Jean-Paul II a proposé, pour la première année, une option squash en classe de 6e. À l'issue d'une période de neuf séances d'entraînement, organisée par Jacques Bernard, professeur d'éducation physique, et par Alexis et Jean-Luc Paquemard, diplômés de la discipline, vingt-huit élèves ont convié leurs parents à un tournoi familial.

(Ouest-France du 26 novembre)

vendredi 20 novembre 2015

Le golf, une autre école pour les collégiens


 Des élèves du collège Jean-Paul II suivent des cours de golf depuis plusieurs années. Avec cette option, les collégiens travaillent, entre autres, la maitrise de soi.

L'initiative
Lundi matin, malgré un temps maussade, les 26 élèves de la classe de 4e du collège Jean-Paul II ont terminé la première série des dix leçons d'initiation au golf commencées en septembre.
Le prochain cycle d'une quinzaine de séances reprendra de février à juin, toujours dans le cadre de l'enseignement physique. Entre-temps, ils auront renoué avec les disciplines sportives traditionnelles.
Cette activité fait partie des autres sports proposés en option découverte : squash pour les classes de 6e, surf pour les 5e. « Cette option golf a été mise en place, il y a déjà quelques années pour répondre au manque de concentration de certains élèves, explique Jacques le Bouëdec, directeur de l'établissement. Nous continuerons à proposer cette option car ce sport, qui demande aussi de la maîtrise de soi, est un bon moyen pour inculquer ces différentes qualités. »
« Me retrouver au grand air »
Les collégiens jouent à trois contre trois sur les derniers trous du parcours. Pour certains, c'est la découverte d'un autre univers. On ne va pas sur un terrain de golf comme sur un terrain de football !
Sur le magnifique green, face à l'océan, Martin ne cache pas sa joie : « La météo aujourd'hui, ce n'est pas top. Mais j'aime bien me retrouver au grand air. Plus tard, je pense que je jouerai au golf régulièrement. »
Le prix à payer pour ce sport passion n'est pas plus élevé que pour d'autres activités : de l'ordre de 150 € pour un abonnement à l'année.
Daniel, qui dirige la session, égrène les règles de comportement et les normes techniques « Ici, il faut faire le bon choix de club, l'herbe est grasse, attention à la ligne des mains, à la pointe des pieds, à la position de la balle, regardez bien votre cible pour trouver la trajectoire idéale. » Les élèves écoutent attentifs malgré la météo qui se dégrade.
« Pour tolérer l'échec »
« Les objectifs à atteindre, c'est d'acquérir l'étiquette du golfeur comme on dit dans le jargon. Respecter l'autre, observer les consignes de sécurité... commente Jacques Bernard, professeur d'éducation physique. Ensuite, ce sont des compétiteurs dans l'âme, ils doivent donc apprendre à tolérer l'échec sur un putt. On leur demande d'être calme et appliqué, de savoir analyser, pas toujours facile pour une génération adepte du zapping.»
Entre-temps, Anne Caroline a réussi une frappe de 80 mètres et réalise un trou en un. Les spécialistes apprécient.

(Ouest-France du 17 novembre)

lundi 16 novembre 2015

la sécurité routière au niveau 4ème

« Conduire comme ça, c'est de la folie »

 

Les collégiens de Jean-Paul II ont participé à une journée sécurité routière. La voiture tonneau a été l'atelier phare.

L'initiative
Jeanne, Esra, Gautier et Gurvan prennent place dans un véhicule placé sur un plan incliné. Lâchée, la voiture test-choc prend de la vitesse et vient butter sur un arrêtoir, simulant un choc à 30 km/h.
« C'est un peu comme les autos tamponneuses, mais ça surprend ! Au début, on est tranquille, et puis c'est assez violent », témoignent-ils à leur sortie du véhicule.
« Là on se prépare, mais en cas d'accident réel, on n'est pas prêt ! On se rend compte de l'intérêt de la ceinture », constate Nelson. Thibaut commente : « On nous a expliqué que la ceinture doit être bien serrée au niveau du bassin, sinon c'est le dos qui absorbe les chocs. »
Sensibiliser à la sécurité routière
Jeudi, les élèves de 4e du collège Jean-Paul II ont été sensibilisés à la sécurité routière par des bénévoles du réseau Agir, un organisme qui dépend de la préfecture.
Un peu plus loin, les collégiens tentent de slalomer à pieds en portant des lunettes déformantes, reproduisant la vision d'une personne ayant 1,5 g d'alcool dans le sang. « Ça rend la vision floue, tout est décalé. Conduire comme ça, c'est de la folie ! » s'exclame Katell.
Plusieurs ateliers ont été mis en place pour montrer aux élèves la nécessité du port de la ceinture et des équipements inhérents à la circulation sur un deux roues. Les risques encourus par la consommation d'alcool ont été aussi mis en évidence.
François Becart est le responsable départemental de l'Agir. « Je réponds à la demande des établissements scolaires, explique-t-il. Aujourd'hui, nous sommes sept intervenants, cinq bénévoles, Yannick Pousson dit M. moto et moi. »
Les accidents de la circulation sont la première cause de mortalité chez les 10-24 ans. La formation des plus jeunes constitue ainsi l'une des priorités d'Agir.

(Ouest-France du 14 novembre 2015)